La question des relations que l'Homme entretient avec ses environnements, que ceux-ci soient de proximité ou plus mondialistes, qu'il s'agisse d'environnements naturels ou urbains, sont au coeur des dispositifs que j'imagine sous forme d’installation.

Ces installations restent  pour moi des images dont la faculté est de se déployer spatialement hors du cadre d’exposition traditionnel.

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Les « déploiements » In-Situ tels que Carré Or, dispositif interactif ou Silen"C"io, sculpture monumentale sont prévus pour les espaces publics.

Lorsque ces derniers sont des espaces d’usages sociaux, ils sont sources d'observations et de réflexions sur la communauté humaine. Lorsqu’ils sont des espaces naturels, ils sont sources de visions et d’enchantements.

Et deviennent également le meilleur écrin d'expositions faisant écho aux questionnements qu’ils m’ont inspirés.

Leur force est également de permettre une confrontation plus inattendue et directe entre le dispositif et le spectateur.

 

Les « curiosités » sont des installations de petites dimensions, des assemblages ou des combinaisons.

Ces curiosités renvoient à l’étrangeté des objets des cabinets de curiosités, présentés dans des situations conservatoires, boites ou vitrines.

Elles explorent la question des systèmes relationnels que l’homme entretient avec ces congénères.

Parfois autobiographiques comme dans Les Chambres de Larmes, Les césures nécessaires (en cours), Sous les tapis (en cours), d’autre fois abordant des thèmes plus sociétaux, tel que dans Soulier ou Paillassons(à venir).